« UNE FILLE HORS PÈRES »
En plein hiver, une fille est retrouvée en état de choc au bord d’une rivière. Les recherches ne permettent pas de l’identifier.
19 ans plus tard, une série de rebondissements teintés de violences et de meurtres ébranle la cité de Lémania où le pouvoir, l’argent et les trafics dominent.
Comme si le hasard n’existait pas, une jeune femme se retrouve confrontée à son passé, là où elle pensait que tout avait commencé.
Où qu’elle soit, quoiqu’elle fasse, elle devra l’affronter.
— Babelio, Sylvaine
« Un roman éblouissant. Les chapitres s’enchainent, leur brièveté donne le rythme , tout va vite, très vite. Les scènes sont souvent très dures les personnages inhumains mais où commence la fiction? Un roman à classer dans le registre des dystopies écrit par une auteure de talent. Amateurs de sensations fortes ce roman est pour vous. »
— Schweizer-Krimipreis.ch
« Les mots ne se lisent pas : ils se dévorent pour envahir l’imaginaire. Chaque phrase s’installe dans la tête et s’enroule dans une bobine de film qui projette un monde unique, à part, ne laissant aucune pause pour reprendre le moindre souffle d’une respiration.
Une cité imaginaire du nom Lémania, une petite fille disparue, une femme à trois noms. Le passé rattrape le présent. Sarah Baud s’empare avec son style d’écriture du lecteur·trice : elle provoque les frissons en détaillant explicitement chaque mouvement, chaque perception, chaque scène. »
— Badgeekette.com
J’ai trouvé que l’intrigue était vraiment bien pensée, j’ai été happée par l’histoire et ce dès les premières pages, ce qui est déjà admirable pour un premier roman!
Il s’agit d’un thriller mais également d’une histoire de famille, d’une histoire d’amour et bien plus encore! A la fin du roman nous avons les réponses à toutes nos questions et je dois dire que c’est vraiment agréable car ce n’est pas toujours le cas dans les thrillers. Souvent des éléments restent flous ou carrément mis de côté mais ce n’est pas le cas ici.
— Cathjack.ch
« Un rythme trépidant, pas de temps morts, des scènes courtes qui se succèdent sans laisser le temps de respirer, on se croirait au cinéma dans un film d’action. »
—Babelio, Verobleue
« Une fille hors pères », un titre étrange pour ce livre lu à l’occasion d’une masse critique privilégiée. Ecrit par Sarah Baud, une genevoise, dont c’est le premier roman.
À la fin de la lecture, je comprends mieux les mots du titre, mélange de «fille hors pair» et de «fille hors pères» car Nola, la protagoniste principale est un amalgame des deux. Nola, petite fille mutique entre 5 et 8 ans, trouvée au bord d’une rivière en Haute Savoie et que personne ne recherche. Mais aussi Nola, à l’apparence fragile capable de tuer à mains nues, assistante administrative du président d’une grande banque le jour et maîtresse de ses basses oeuvres la nuit.
Un polar sans aucun doute mais mâtiné d’espionnage, de violence et saupoudré d’érotisme. Un livre bien documenté au décor authentique. »
.— Webliterra.ch
« Dès les premières pages, l’auteure, Sarah Baud, nous emmène dans une histoire étourdissante et truffée de rebondissements inattendus, dans un tourbillon incessant de péripéties qui se déroulent à un train d’enfer. Elle y intègre habilement un passé et un présent qui malmènent l’héroïne de ce récit époustouflant. Chaque épisode de sa vie nous prend aux tripes et nous tient en haleine jusqu’au bout. Argent, pouvoir, trafics en tous genres et meurtres, voilà bien les ingrédients de ce roman à suspense.
Une panoplie de personnages principaux tournent autour de notre héroïne, atypique et attachante. Les uns sont cupides, abjects et dangereux, les autres tentent de survivre dans un environnement empreint de peur, de mensonge et de trahison. L’amour en sauvera-t-il quelques-uns ? »
— Lesgenevoises.com
« Du noir. Du bien noir comme on l’aime. La Genevoise Sarah Baud publie son premier polar, Une fille hors pères, (éd. Slatkine) et c’est une réussite. Après le théâtre et la danse, elle se lance dans l’écriture, imaginant une intrigue complexe autour d’une étrange jeune femme, Nola, dans une ville à l’atmosphère futuriste et angoissante. »